Le côté noble de la viticulture et la nécessité de se remettre en question année après année
Revenir à l’essence même de la vie, l’agriculture (en tant qu’issu d’une famille de paysans)
Exploiter de ses propres mains la terre
Respecter la nature et les cycles biologiques
Réduire au maximum l’impact sur la planète en mettant en avant le bilan carbone de notre domaine, globalement plus “écoresponsable” qu’un domaine bio.
Volonté de travailler en local (inclus la distribution et la consommation). Le but n’est pas forcément de vouloir atteindre le zéro carbone (décarboné). En fait, nous ne souhaitons pas utiliser les solutions comme la compensation carbone ou les banques de carbone étrangères peu contrôlables et viables.
Vouloir être acteur, à une petite échelle, des nouveaux challenges de la viticulture et des vins du Val de Loire (incluant les AOC Muscadet et Gros Plant)